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 Sujet du message : morts en déportation
MessagePublié : mar. nov. 09, 2021 18:25 pm 
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Localisation : Somme
Base des morts en déportation (1939-1945)

Clément CAGNACHE
Décédé le 9 mars 1944 à Lublin, (Pologne)
Né le 29 novembre 1899 à Liancourt-Fosse (Somme)
44 ans, 3 mois et 9 jours
Sources : Service historique de la Défense, Caen
Cote : AC 21 P 432 362

J.O. du 15 septembre 1991 page 12154

Par arrêté du secrétaire d’Etat aux anciens combattants et victimes de guerre en date du 25 juillet 1991, il est décidé d’apposer la mention « Mort en déportation » sur l'acte de décès de :

CAGNACHE (Clément, Paul), né le 29 novembre 1899 à Liancourt Fosse (Somme), décédé le 9 mars 1944 à Lublin (Pologne).

Sur ce déporté
faire une recherche sur : http://www.bddm.org/liv/recherche.php
LES DÉPORTÉS INTERNÉS À BUCHENWALD (III.7.)
Voir : http://www.bddm.org/liv/details.php?id=III.7.#CAGNACHE

Matricule au KL Buchenwald : 28900



Cordialement
Eric Abadie


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 Sujet du message : Re: morts en déportation
MessagePublié : mar. nov. 09, 2021 18:40 pm 
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Base des morts en déportation (1939-1945)

Emile Jean-Baptiste Charles LAVALLART
Décédé le 13 avril 1945 à Mauthausen, (Autriche)
Né le 25 mai 1907 à Cramont (Somme)
37 ans, 10 mois et 19 jours
Sources : Service historique de la Défense, Caen
Cote : AC 21 P 473 453

J.O. du 2 janvier 1994 page 183

MINISTÈRE DES ANCIENS COMBATTANTS ET VICTIMES DE GUERRE
Arrêté du 4 novembre 1993 portant apposition de la mention « Mort en déportation » sur les actes de décès
Par arrêté du ministre des anciens combattants et victimes de guerre en date du 4 novembre 1993 :
Il est décidé d’apposer la mention « Mort en déportation » sur l'acte de décès de :

LAVALLART (Emile, Jean-Baptiste, Charles), né le 25 mai 1907 à Cramont (Somme), décédé le 13 avril 1945 à Mauthausen (Autriche).



l'abbé LAVALLART fut curé des paroisses de Bouchoir, Folies, Le Quesnoy, Erches, Guerbigny, Warsy et Becquigny
Arrivée à Neuengamme le 7 juin 1944

LAVALLART EMILE
né le 25/05/1907 à Gramont (80) - France
Matricule : 134473
AVANT LA DÉPORTATION
Lieu de résidence : Bouchoir (80) - France
Profession : Prêtre
Lieu d'internement : AMIENS
DÉPORTATION
Lieu de départ : COMPIÈGNE, le 04/06/1944
Déportation : NEUENGAMME, le 07/06/1944
Déportation : SACHSENHAUSEN, le 02/07/1944
Déportation : MAUTHAUSEN, le 26/02/1945
PARCOURS AU SEIN DU COMPLEXE CONCENTRATIONNAIRE :
AFFECTATION AU CAMP CENTRAL ET KOMMANDOS EXTÉRIEURS
Affectation : AMSTETTEN, le 23/03/1945
Affectation : CAMP CENTRAL
DÉCÈS : MAUTHAUSEN, le 13/04/1945
SOURCES : http://monument-mauthausen.org/134473.html


Cordialement
Eric Abadie


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 Sujet du message : Re: morts en déportation
MessagePublié : sam. avr. 29, 2023 11:57 am 
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Pierre WADOUX instituteur de Mesnil-Saint-Georges

MONTDIDIER / MESNIL-SAINT-GEORGES
La mémoire de Pierre Wadoux honorée
par Jean-Lou DEMOLLIENS (correspondant du Courrier Picard)


Pierre Wadoux est né le 20 mars 1908 à Berck dans le Pas-de-Calais, où une tombe in memoriam rappelle le courage du résistant.
À 24 ans, il devient instituteur et secrétaire de mairie dans le petit village de Mesnil-Saint-Georges, à quelques kilomètres de Montdidier. Il s’engage dans la résistance, en 1943 il appartient au groupe FN-OCM, organisation civile et militaire, très implantée dans la région, avec le grade de lieutenant. Son rôle ? Recruter et instruire ses hommes aux techniques de guérilla.

IL CACHE DES ARMES DANS L’ÉGLISE
Dans les bois de Plainville et de la Hérelle, deux communes de l’Oise, il initie ses hommes au sabotage des lignes de chemin de fer et téléphoniques, allant même jusqu’à cacher des armes dans l’église de Mesnil-Saint-Georges.
Le résistant est arrêté par la Gestapo le 15 mai 1944, à l’école de Mesnil -Saint-Georges devant les écoliers. Il est accusé de fabriquer des faux papiers. Incarcéré à la citadelle, prison d’Amiens, puis à Compiègne, il est victime de sévices de la barbarie nazie. Il a refusé de donner le moindre renseignement à l’occupant.
Déporté le 22 juillet 1944 (sic) LIRE : 2 juillet 1944, il fait partie du convoi nº 7909, dit train de la mort. Il décède dans un wagon à bestiaux dans la chaleur suffocante de l’été. Pierre Wadoux meurt, le 2 juillet entre Compiègne et Sarrebourg (57).
Une rue porte son nom à Mesnil-Saint-Georges. C’est donc tout naturellement que lors de la cérémonie qui va se tenir dans le cadre de la journée nationale des déportés, ce dimanche 30 avril, le souvenir Français de Montdidier va lui rendre hommage. Tout débutera à la gare de Montdidier à 11 heures, puis au monument aux morts de la cité de Parmentier. Pour finir, tout le monde se rendra à Mesnil-Saint-Georges pour saluer ce héros de la résistance qui a donné sa vie pour la liberté des autres.



Article du Courrier Picard - édition Haute-Picardie du 29 avril 2023


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 Sujet du message : Re: morts en déportation
MessagePublié : sam. avr. 29, 2023 12:04 pm 
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Localisation : Somme
WADOUX Pierre François Joachim


Pierre François Joachim WADOUX
Décédé le 2 juillet 1944
Né le 20 mars 1908 à Berck (Pas-de-Calais)
forces françaises de l'intérieur (FFI)
mort en déportation
Sources : Service historique de la Défense, Caen
Cote : AC 21 P 172177

Base des morts en déportation (1939-1945)
Pierre WADOUX
Décédé le 2 juillet 1944 sur le chemin de la déportation - Train de la Mort - parti de Compiègne (Oise)
Cote AC 21 P 548 770


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 Sujet du message : Re: morts en déportation
MessagePublié : lun. mai 08, 2023 11:24 am 
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Raymond MARTIN de Pont-de-Metz



Article du COURRIER PICARD - édition du 8 mai 2023
par ESTELLE THIÉBAULT

Deux nouveaux noms inscrits sur le monument aux morts de Pont-de-Metz

Leurs noms ont été gravés sur le monument aux morts de Pont-de-Metz, commune limitrophe d’Amiens, ce jeudi 4 mai. Raymond Martin et Louis Delapierre, morts pendant la Seconde guerre mondiale, rejoignent ainsi la liste des victimes et seront à l’honneur lors de la traditionnelle cérémonie de ce lundi 8 mai.
Pourquoi si tard ? « Dans le cas de Raymond Martin, on pensait qu’il avait été tué lors du bombardement de la prison d’Amiens en février 1944, au cours de l’opération Jéricho, explique Gérard Cozette, membre de l ’association Centre de mémoire et d’histoire Somme résistance déportation. Il avait été arrêté par la Gestapo en août 1943 ». Gérard Cozette possède dans ses archives personnelles une photo de Raymond Martin, prise en 1939. « Il est assis à côté de mon père et un ami habillé en zouave ».

TRANSFÉRÉ À COMPIÈGNE PUIS DIRECTION FLOSSENBÜRG

Gérard Cozette entreprend des recherches au mémorial de Caen où il a retrouvé sa fiche. Raymond Martin n’est pas mort à Amiens. « Il a été transféré à Compiègne aux camps de Royallieu puis transféré à Buchenwald où il est arrivé en janvier 1944. Il partira ensuite en février 1944 dans le camp de Flossenbürg, en Bavière en Allemagne, avec le matricule 5152. J’ai fait aussi des recherches auprès de l’association des anciens déportés de Flossenbürg. Le camp a été évacué en avril 1944, poussant sur la route les détenus, dont la moitié sont morts. Raymond Martin fait partie de ceux-là et on ne sait pas où son corps a été enterré. Il avait 24 ans ».
Louis Delapierre est mort à 14 ans. Bêtement. Le 21 août 1941, le jeune garçon rentre chez lui rue du Château avec son père. Au pont de chemin de fer, ils sont contrôlés par les Allemands pour non-respect du couvre-feu. Pris de panique, Louis Delapierre s’enfuit en courant et les Allemands tirent. Il est mort à l’hôpital d’Amiens le 30 août.
L’association centre de mémoire Somme résistance et déportation a sollicité la mairie de Pont-de-Metz pour faire ajouter ces deux noms aux trois autres habitants civils tués dans la commune pendant les bombardements alliés, qui a donc répondu favorablement.


=============================================================================


Progrès de la Somme édition du 31/08 - 01/09 1941 - page 1
Le Progrès de la Somme, numéro 22449, Dimanche 31 août - Lundi 1er septembre 1941 259PER296 Archives de la Somme

Un jeune homme mortellement blessé à Pont-de-Metz
Trouvé blessé sur la route à Pont-de-Metz, le jeune Delapierre, âgé de 15 ans, habitant cette commune, a été transporté au Nouvel Hôpital à Amiens, où il est décédé ce samedi matin.



Le Progrès de la Somme, numéro 22451, 3 septembre 1941 259PER296 Archives de la Somme

Décès :

DELAPIERRE (Louis-André), 15 ans, sans profession, place Victor-Pauchet.


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