Gaston Marc VICTOR PUJEBET Mort pour la France (Somme) Né à Saint-Valery-sur-Somme (Somme) 3e régiment de dragons (3e RD) Mort pour la France tué au combat
1937
J.O. du 18 avril 1937 page 4419 Par décision du 15 avril 1937 est nommé dans l'arme de la cavalerie (réserves), au grade d'aspirant, pour prendre rang à la date du 10 avril 1937, et reçoit l'affectation ci-après, l'élève officier de réserve désigné ci-dessous, qui a suivi les cours du peloton (Octobre 1936-avril 1937) des élèves officiers de réserve de cavalerie, savoir: 3e bataillon de dragons portés M. VICTOR-PUJEBET (Gaston-Marc), du 2e régiment de hussards.
J.O. du 8 octobre 1937 page 11384 CAVALERIE NOMINATION Réserve Par décret du 30 septembre 1937, est nommé dans l'arme de la cavalerie (réserve) au grade de sous-lieutenant, pour prendre rang du 10 octobre 1937, l'aspirant ci-après dénommé, qui a suivi les cours du peloton des élèves officiers de réserve de cavalerie d'octobre 1936 à avril 1937 : M. VICTOR-PUJEBET (Gaston-Marc), du 3e bataillon de dragons portés.
1938
J.O. du 20 novembre 1938 page 13161 CAVALERIE Réserves. Troisième liste d'officiers de réserve de cavalerie autorisés, en 1938, à servir en situation d'activité. Par décision du 17 novembre 1938, sont admis à servir en situation d'activité avec solde, dans les conditions de l'article 42 de la loi du 8 janvier 1925, pour une durée d'un an, les officiers de réserve dont les noms suivent, savoir: [...] M. VICTOR-PUJEBET (Gaston-Marc), du 3e bataillon de dragons portés, en stage audit bataillon - maintenu.
1940
J.O. du 27 avril 1940 page 3068 Cavalerie Promotion au grade de lieutenant (pour prendre rang du 25 mars 1940) [...] VICTOR-PUJEBET (Gaston-Marc)
1942
3e régiment de dragons portés
J.O. du 18 juin 1942 page 2126 3e régiment de dragons portés Nomination dans la Légion d'honneur à titre posthume PUYEBET* (Victor-Gaston-Marc), lieutenant : officier animé de la plus belle ardeur combative. Chef du groupe franc du bataillon, toujours volontaire pour les missions dangereuses. Le 5 juin 1940, à Erondelle (Somme), encerclé par l'attaque ennemie sur la position qu'il avait mission de tenir sans esprit de repli, a continué le combat malgré les pertes subies par son peloton. Après dix heures de lutte, n'ayant plus autour de lui qu'un sous-officier et trois cavaliers, leur a donné l'ordre de se rendre et est parti seul au-devant de l'ennemi, armé de la dernière grenade qu'il s'apprêtait à lancer au moment où il est tombé criblé de balles. A été cité.
* lire PUJEBET
J.O. du 26 juin 1942 page 2229 Rectificatif au Journal officiel du 18 juin 1942 : Page 2126, 2e colonne, au lieu de: « Puyebet ", lire: « Pujebet ».
Cordialement Eric Abadie
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