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60ème RI juin 1940 (Somme) Picquigny - Breilly https://www.picardie-1939-1945.org/phpBB2new/viewtopic.php?f=36&t=1329 |
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Auteur : | ae80 [ sam. juil. 04, 2020 11:03 am ] |
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Morts pour la France du 60e régiment d'infanterie (60e RI) à Fourdrinoy (Somme) 5 juin 1940 Maurice BUISSONIERE Mort pour la France le 5 juin 1940 (Fourdrinoy) Né le 23 octobre 1918 à Trézelles (Allier,) Mort pour la France tué à l'ennemi Jean LAUDY Mort pour la France le 6 juin 1940 (Fourdrinoy) Né le 3 septembre 1916 à Arrènes (Creuse) Mort pour la France tué au combat 6 juin 1940 Jules CHANONAT Mort pour la France le 6 juin 1940 (Fourdrinoy) Né le 23 avril 1915 à Langeais (Indre-et-Loire) Mort pour la France André Jules Marie François COURANT Mort pour la France le 6 juin 1940 (Fourdrinoy) Né le 15 septembre 1905 à Isle sur le Doubs (Doubs) Mort pour la France René COURTY Mort pour la France le 6 juin 1940 (Fourdrinoy) Né le 18 août 1917 à Paris Mort pour la France 60e rég. d'infanterie. J.O. du 30 juillet 1942 page 2624 Nomination dans la Légion d'Honneur à titre posthume COURTY (René), sous-lieutenant : chef de section énergique. S'est brillamment comporté lors de l'attaque du village de Fourdrinoy, le 5 juin 1940, et au cours des contre-attaques ennemies exécutées sur ce village durant la nuit. A été mortellement blessé à son poste de combat. A été cité. Sépultures de guerre René COURTY Mort pour la France le 6 juin 1940 à Oissy Somme) sous-lieutenant au 60e régiment d'infanterie (60e RI) Lieu de sépulture : Condé-Folie (Somme) nécropole nationale de "Condé-Folie" Type de sépulture : tombe individuelle Numéro de la sépulture : 926 Rémy DEPALLE Mort pour la France le 6 juin 1940 (Fourdrinoy) Né le 7 septembre 1917 à La Chabanne (Allier) Mort pour la France Raymond Joseph LASSALAS Mort pour la France le 6 juin 1940 (Fourdrinoy) Né le 28 novembre 1917 à Augerolles (Puy-de-Dôme) Mort pour la France tué au combat Date indéterminée Noel Marie Antoine Charles Jean Fernand François VALLAVIEILLE (DE) Mort pour la France à (Fourdrinoy) Le 6 juin 1940 selon sa citation Né à Fontenay-le-Comte (Vendée) (1916) 60e régiment d'infanterie (60e RI) Mort pour la France tué au combat 60e régiment d'infanterie. 22 juin 1942 page 2184 Attribution de la Médaille militaire à titre posthume DE VALLAVIEILLE (Noël-Marie-Antoine-Charles-Jean-Fernand-François), sergent : chef de groupe audacieux et ardent au combat. A trouvé une mort glorieuse, le 6 juin 1940, aux environs de Fourdrinoy, après une résistance héroïque. A été cité. Inhumé dans le Département de la Manche Commune : Sainte-Marie-du-Mont Lieu : Cimetière communal Carré, rang, tombe : 1ère tombe à gauche en entrant DE VALLAVIELLE sur la plaque de l'école Saint-Jean-de-Béthune - Inhumé avec Jean DE VALLAVIEILLE (1905-1940) http://www.memorialgenweb.org/memorial3 ... id=3455207 J.O. du 29 mars 1941 page 1357 Attribution de la Médaille militaire et de la Croix de guerre avec palme DUPEYROUX (Pierre), soldat au 60e régiment d'infanterie : excellent mitrailleur. Le 6 juin 1940, à Fourdrinoy, désigné pour protéger le repli d'une compagnie, a rempli sa mission de façon magnifique. A été grièvement blessé au cours de l'action. A perdu l'œil droit. Cordialement Eric Abadie |
Auteur : | ae80 [ sam. juil. 04, 2020 11:22 am ] |
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60e régiment d'infanterie J.O. du 12 octobre 1941 page 4413 Attribution de la Médaille militaire et de la Croix de guerre avec palme pour les trois militaires suivants : BERTIN (Jean), soldat au 60e régiment d'infanterie : soldat courageux. Grièvement blesse par balle, le 5 juin 1940, à son poste de combat, à Picquigny, a dû subir l'amputation de la cuisse droite. GROSPERRIN (Joseph), caporal-chef au 60e régiment d'infanterie : gradé énergique et courageux. A été grièvement blessé par éclat d'obus, le 5 juin 1940, à son poste de combat à Picquigny, A perdu l'œil droit. KRATTINGER (René), soldat au 60e régiment d'infanterie : soldat courageux: Grièvement blessé par balle le 5 juin 1940, à son poste de combat, à Picquigny, a dû subir l'amputation de la cuisse droite. J.O. du 3 octobre 1941 page 4265 Attribution de la Médaille militaire GAUTHIER (Hubert), soldat au 60e régiment d'infanterie : soldat courageux. A été grièvement blessé par éclat d'obus, le 5 juin 1940, à son poste de combat au Sud d'Amiens. J.O. du 28 août 1941 page 3640 Attribution de la Médaille militaire BONNAMOUR (Pétrus), soldat au 60e régiment d'infanterie : soldat brave et dévoué. A été grièvement atteint par rafale de mitrailleuse, le 4 juin 1940, au cours d'un violent combat dans la Somme. Amputé de la cuisse droite. J.O. du 17 mai 1941 page 2088 Attribution de la Médaille militaire GARNON (Claudius), soldat au 60e régiment d'infanterie : a été gravement blessé par éclat d'obus, le 5 juin 1940, au cours d'un assaut à la baïonnette aux environs d'Amiens. J.O. du 14 juillet 1941 page 2950 Attribution de la Médaille militaire DRUHEN (André), adjudant au 60e régiment d'infanterie : excellent chef de section, dévoué et courageux. A été très grièvement blessé, le 5 juin 1940, en effectuant une liaison à Saisseval sous un violent bombardement. Amputé de la cuisse droite. J.O. du 1er octobre 1941 page 4234 Attribution de la Médaille militaire pour les deux soldats suivants : VIALLON (Antoine), soldat au 60e régiment d'infanterie : soldat brave et dévoué. A été très grièvement blessé par éclats d'obus, le 3 juin 1940, à son poste de combat près de Bergicourt. DAMON (Paul), soldat au 60e régiment d'infanterie : Soldat très courageux et dévoué. Le 5 juin 1940, aux avant-postes aux environs d'Amiens, est allé chercher volontairement du renfort. Grièvement blessé au cours de sa mission, est atteint de paralysie du bras gauche. J.O. du 14 mai 1941 page 2040 Attribution de la Médaille militaire STREIFF (Jules), sergent au 60e régiment d'infanterie : sous-officier très dévoué. A été gravement atteint par éclat d'obus à la face et au bras, au cours d'une mission de renforcement à la ferme de Beaumont, le 5 juin 1940. Grand blessé de la face. J.O. du 15 juillet 1941 page 2975 Attribution de la Médaille militaire LYRAUD (Robert), soldat au 60e régiment d'infanterie : soldat très courageux. A été grièvement blessé par éclat d'obus, le 6 juin 1940, à son poste de combat dans la Somme. Amputé de la jambe droite. J.O. du 3 décembre 1942 page 3991 Attribution de la Médaille militaire STORTZ (Paul), soldat au 60e régiment d'infanterie : soldat énergique et courageux. A été grièvement blessé par éclats de grenade à son poste de combat, à Picquigny, au cours de l'attaque de la position occupée par son unité. J.O. du 31 octobre 1942 page 3629 Attribution de la Médaille militaire TERRIOUX (René), soldat au 60e régiment d'infanterie : soldat dévoué et courageux. A été grièvement blessé à son poste de combat à Breilly-sur-Somme, le 5 juin 1940, au cours de la défense opiniâtre du point d'appui tenu par son unité. Amputé du bras droit. Cordialement Eric Abadie |
Auteur : | ae80 [ sam. juil. 04, 2020 14:46 pm ] |
Sujet du message : | Re: 60ème RI juin 1940 (Somme) Picquigny - Breilly |
Blessés et Morts pour la France du 60e R.I. à Saisseval (Somme) J.O. du 14 juillet 1941 page 2950 Attribution de la Médaille militaire DRUHEN (André), adjudant au 60e régiment d'infanterie : excellent chef de section, dévoué et courageux. A été très grièvement blessé, le 5 juin 1940, en effectuant une liaison à Saisseval sous un violent bombardement. Amputé de la cuisse droite. 5 juin 1940 Robert Emile Victor BECKERT Mort pour la France le 5 juin 1940 à Saisseval, (Somme) Né le 27 juillet 1918 à Mulhouse (Bas-Rhin) Unité : 60e régiment d'infanterie (60e RI) Mention : Mort pour la France Sépultures de guerre Robert BECKERT Mort pour la France le 5 juin 1940 à Saisseval (Somme) soldat au 60e régiment d'infanterie (60e RI) Lieu de sépulture : Condé-Folie (Somme) nécropole nationale de "Condé-Folie" Type de sépulture : tombe individuelle Numéro de la sépulture : 883 Pierre Ulysse COEURDEVEY Mort pour la France le 5 juin 1940 à Saisseval, (Somme) Né le 9 octobre 1912 à Besançon (Doubs) 60e régiment d'infanterie (60e RI) Mention : Mort pour la France Sépultures de guerre Pierre COEURDEVEY Décédé le 5 juin 1940 Lieu de sépulture : Besançon (Doubs) Carré militaire de "BESANCON" Type de sépulture : tombe individuelle 6 juin 1940 Roger Léon BARNAY Mort pour la France le 6 juin 1940 à Saisseval, (Somme) Né le 16 octobre 1916 à Cublize (Rhône) 60e régiment d'infanterie (60e RI) Mention : Mort pour la France tué à l'ennemi Marie Gaston GIRON Mort pour la France le 6 juin 1940 à Saisseval, (Somme) Né le 29 janvier 1913 à Montbrison (Loire) Grade : sous-lieutenant 60e régiment d'infanterie (60e RI) Mention : Mort pour la France J.O. du 30 juillet 1942 page 2624 Légion d'Honneur à titre posthume GIRON (Marie-Gaston), sous-lieutenant : officier d'une haute valeur morale, ardent au combat. Le 5 juin 1940, s'est élancé à la tête de ses hommes pour reprendre à la baïonnette le village de Fourdrinoy. A trouvé une mort glorieuse à son poste de combat, alors qu'il avait atteint son objectif. A été cité. René Paul Jean Baptiste GUIPET Mort pour la France le 6 juin 1940 à Saisseval, (Somme) Né le 24 juin 1918 à Mesray (Jura) 60e régiment d'infanterie (60e RI) Mention : Mort pour la France 60e rég. d'infanterie. J.O. du 30 juillet 1942 page 2624 Légion d'Honneur à titre posthume GUIPET (René-Paul-Jean), sous-lieutenant : jeune saint-cyrien enthousiaste et rayonnant de foi patriotique. Le 5 juin 1940, a été mortellement blessé en entraînant sa section au cours d'une contre-attaque à la baïonnette en vue de reprendre à l'ennemi le village de Fourdrinoy. A été cité. Marie François Raoul LINGUA DE SAINT BLANQUAT (DE) Mort pour la France le 6 juin 1940 à Saisseval, (Somme) Né le 18 février 1893 à Saint-Lizier (Ariège) 60e régiment d'infanterie (60e RI) Mention : Mort pour la France tué au combat Cordialement Eric Abadie |
Auteur : | ae80 [ dim. juil. 05, 2020 11:47 am ] |
Sujet du message : | Re: 60ème RI juin 1940 (Somme) Picquigny - Breilly |
60e régiment d'infanterie Morts pour la France à Ailly-sur-Somme (Somme) J.O. du 28 octobre 1942 page 3581 Attribution de la Médaille militaire à titre posthume MILLINI (Baptiste), soldat : agent de transmission d'un courage exceptionnel. A été tué glorieusement, le 5 juin 1940, à Ailly-sur-Somme, en portant un pli à son commandant de compagnie. A été cité. Baptiste MELLINI Mort pour la France le 5 juin 1940 à Ailly s/ Somme,(Somme) Né le 16 novembre 1915 à Le Puy (Haute-Loire) 60e régiment d'infanterie (60e RI) Mort pour la France Cause du décès : tué au combat Sources : Service historique de la Défense, Caen Cote : AC 21 P 89616 Roger Louis LECLERC Mort pour la France le 6 juin 1940 Ailly-sur-Somme, (Somme) Né le 15 mai 1914 à Audelot (???) Mort pour la France tué au combat Sépultures de guerre Roger LECLERC Mort pour la France le 6 juin 1940 à Ailly-sur-Somme (Somme) soldat au 60e régiment d'infanterie (60e RI) Lieu de sépulture : Condé-Folie nécropole nationale de "Condé-Folie" Type de sépulture : tombe individuelle Numéro de la sépulture : 782 Félix Clément VALLAT Mort pour la France à Ailly, (Somme) Né à Queyssac (Corrèze) Mort pour la France tué au combat Cordialement Eric Abadie |
Auteur : | ae80 [ dim. juil. 05, 2020 11:59 am ] |
Sujet du message : | Re: 60ème RI juin 1940 (Somme) Picquigny - Breilly |
60e régiment d'infanterie J.O. du 28 octobre 1942 page 3581 Médaille militaire à titre posthume pour les militaires suivants : LAGRANGE (Marcel), sergent-chef: sous-officier d'un allant et d'un courage exceptionnels. A été blessé mortellement à son poste de combat alors qu'il faisait lui-même le coup de feu lors de l'attaque allemande du 5 juin 1940 à la ferme de Saint-Christ. A été cité. Marcel LAGRANGE Mort pour la France le 5 juin 1940 à Picquigny, (Somme) Né le 13 février 1914 à Besançon (Doubs) 60e régiment d'infanterie (60e RI) Mort pour la France Cause du décès : des suites de blessures Sources : Service historique de la Défense, Caen Cote : AC 21 P 62700 VALLON (Paul-Louis-André), sergent-chef: sous-officier faisant fonction de chef de la section de commandement d'une compagnie, a toujours assuré avec calme et un dévouement sans bornes le ravitaillement de la compagnie. A été mortellement blessé à Bergicourt (Somme). A été cité. Paul Louis André VALLON Mort pour la France à Bergicourt, (Somme) Né à Vaudrey (Jura) 60e régiment d'infanterie (60e RI) Mort pour la France Sources : Service historique de la Défense, Caen Cote : AC 21 P 165239 MARINGER (Nicolas), caporal : chef de pièce de mitrailleuse d'un sang-froid et d'un courage remarquables. A tenu à remplacer le tireur de sa pièce pour mieux remplir sa mission et n'a pas hésité à exécuter au cours de ce combat un déplacement très dangereux. A été mortellement blessé sur sa mitrailleuse, le 5 juin 1940, à Breilly (Somme). A été cité. Nicolas MARINGER Mort pour la France le 5 juin 1940 à Breilly, (Somme) Né le 21 août 1918 à Sarreguemines (Moselle) 60e régiment d'infanterie (60e RI) Mort pour la France Sources : Service historique de la Défense, Caen Cote : AC 21 P 87536 DOISY (Georges-Alexandre), soldat : tireur de pièce de mitrailleuse, a lait constamment preuve de courage et d'un cran extraordinaires. A été tué à bout portant à son emplacement de combat, le 5 juin 1940, à Breilly (Somme). A été cité. Georges Alexandre DOISY Mort pour la France le 5 juin 1940 à Breilly, (Somme) Né le 20 octobre 1914 à Roye (Somme) 60e régiment d'infanterie (60e RI) ENCEL (Eugène), soldat : chargeur de pièce de mitrailleuse, a fait constamment preuve d'un courage et d'un sang-froid remarquables. A été tué glorieusement à son poste de combat au cours du combat du 5 juin 1940. A été cité. Cordialement Eric Abadie |
Auteur : | ae80 [ dim. juil. 05, 2020 12:20 pm ] |
Sujet du message : | Re: 60ème RI juin 1940 (Somme) Picquigny - Breilly |
60e rég. d'infanterie. J.O. du 30 juillet 1942 page 2624 Légion d'Honneur à titre posthume pour les militaires suivants : JACQUOT (Gustave-Gabriel-Robert), lieutenant : officier courageux et ayant fait preuve du plus grand sang-froid dans tous les engagements de son unité. Le 7 juin 1940, en particulier, a dégagé son unité d'une situation périlleuse. A été mortellement blessé au cours de la retraite. A été cité. Gustave Gabriel Robert JACQUOT Mort pour la France le 16 juin 1940 à Orléans, (Loiret) Né le 29 mars 1909 à Bresilley (Haute-Saône) 60e régiment d'infanterie (60e RI) Mort pour la France Cause du décès : bombardement Sources : Service historique de la Défense, Caen Cote : AC 21 P 55602 Géographie historique : Aydes est l'un des quartiers d'Orléans. Albert Louis Julien POULIN Mort pour la France le 9 juin1940 à Amiens, (Somme) Né le 29 mai 1912 à Frasnois (Jura) 60e régiment d'infanterie (60e RI) Mention : Mort pour la France Cause du décès : des suites de blessures POULIN (Albert-Louis-Julien) lieutenant : officier de grande valeur morale, vaillant et animé du plus bel esprit de sacrifice. Au cours des combats du 5 au 7 juin 1940, a su faire passer dans sa troupe l'ardeur qui l'animait. Grièvement blessé au cours d'une reconnaissance périlleuse, est mort des suites de ses blessures. A été cité. Michel Gilbert Georges LANGRENAY Mort pour la France le 7 juin 1940 à Doullens, (Somme) Né le 17 janvier 1914 à Baume-les-Dames (Doubs) 60e régiment d'infanterie (60e RI) Mention : Mort pour la France LANGRENAY (Michel-Georges-Gilbert), sous-lieutenant: jeune officier d'un calme et d'un courage admirables. A défendu héroïquement son point d'appui attaqué par des forces très supérieures à Breilly-sur-Somme, tenant jusqu'au bout sans esprit de recul. Grièvement blessé au cours de l'action à Doullens, est mort des suites de ses blessures, le 7 juin 1940. A été cité. Pierre François Jean Robert SAGAZAN Mort pour la France le 6 juin 1940 Oissy, (Somme) Né le 10 février 1914 à Auch (Gers) 60e régiment d'infanterie (60e RI) Mort pour la France tué au combat SAGAZAN (Pierre-François), sous-lieutenant : jeune officier plein d'allant et de courage. Le 5 juin 1940, a entraîné vaillamment ses hommes à l'attaque du village de Fourdrinoy. Très grièvement blessé en défendant jusqu'au bout le village repris à l'ennemi, est mort des suites de ses blessures. A été cité. Cordialement Eric Abadie |
Auteur : | ae80 [ dim. juil. 05, 2020 15:02 pm ] |
Sujet du message : | Re: 60ème RI juin 1940 (Somme) Picquigny - Breilly |
J.O. du 8 juillet 1942 page 2366 Médaille militaire GUYOT (Léon), soldat au 60e rég. d'infanterie : excellent tireur au fusil-mitrailleur. A été grièvement blessé, le 5 juin 1940, à son poste de combat devant Picquigny, alors que sous un feu violent de minenwerfer il assurait le service de son arme. Amputé de la cuisse gauche. J.O. du 6 septembre 1942 page 3051 Légion d'Honneur pour Chevalier GUENOT (Francis), lieutenant au 60e rég. d'infanterie : chef de section dont le courage et les qualités manœuvrières amenèrent, le 5 juin 1940, la prise et l'occupation du village de Fourdrinoy occupé par l'ennemi. Très grièvement blessé au cours de l'action, a fait montre d'un calme et d'un esprit de sacrifice qui ont permis à son unité de remplir magnifiquement sa mission. 60e rég. d'infanterie. J.O. 27 mai 1943 page 1446 Légion d'Honneur à titre posthume MAGNIN (Jacques-Frédéric), lieutenant : officier animé des plus belles qualités d'intelligence et de cœur, qui a su obtenir le maximum de son personnel. Toujours au plus près de la ligne de feu, a assumé avec un courage froid et volontaire les risques de sa fonction. A contribué, le 7 Juin 1940, à Grandvilliers (Oise) au dégagement de son chef de corps encerclé. S'étant dans l'après-midi heurté à un fort parti ennemi, a refusé de se rendre et a été tué glorieusement faisant preuve jusqu'au bout d'un sang-froid admirable. A été cité. Jacques Frédéric MAGNIN Mort pour la France le 7 juin 1940 à Grandvilliers, (Oise) Né le 11 septembre 1912 à Belfort (Territoire de Belfort) 60e régiment d'infanterie (60e RI) Mort pour la France tué au combat 60e rég. d'infanterie. J.O. du 22 septembre 1943 Médaille militaire à titre posthume pour les militaires suivants : BOURDENET (Louis-Alphonse-Anatole), soldat, classe 1934, matricule 1300 au recrutement de Besançon : soldat brave et courageux. A été grièvement blessé, le 5 juin 1940, à son poste, au cours du combat de Breilly, sur la Somme. Est mort des suites de ses blessures. A été cité. CASSARD (Roger-Charles), soldat, classe 1934, matricule 100 au recrutement de Besançon : soldat courageux et ardent au combat. A trouvé une mort glorieuse, le 6 juin 1940, à Breilly, au cours d'une contre-attaque à la baïonnette qui a réussi à chasser l'ennemi du village. A été cité. COTE-COLISSON (Maurice-Jean-Baptiste), soldat, classe 1933, matricule 922 au recrutement de Besançon : soldat brave et courageux. Sur la Somme et au Sud, a pris part avec sa compagnie, du 5 au 10 juin 1940, à de durs combats offensifs et défensifs. Très grièvement blessé à son poste de combat, le 10 juin 1940, est mort des suites de ses blessures. A été cité. J.O. du 21 mars 1943 page 828 Médaille militaire SIMONET (Georges), soldat au 60e rég. d'infanterie : soldat aussi modeste que brave, d'un calme et d'un sang-froid exemplaires. S'est particulièrement distingué le 5 juin 1940, à la ferme Saint-Christ, au cours de la défense du P. C. de son bataillon assiégé par l'ennemi, servant avec précision une pièce de mortier de 60, contribuant à arrêter plusieurs assauts de l'adversaire. A été grièvement blessé le 7 juin 1940, à son poste de combat. Amputé du pied gauche. J.O. du 25 octobre 1943 page 2771 60e rég. d'infanterie. Médaille militaire à titre posthume OUDET (André-Désiré-Henri), sergent-chef, classe 1930, matricule 1546 au recrutement de Besançon : sous-officier adjoint brave et dévoué, ayant cherché à assurer lui-même la liaison avec la compagnie, n'a pu parvenir jusqu'au P. C. A continué la lutte avec une autre section et a été tué glorieusement à Picquigny (Somme), le 5 juin 1940, au cours du combat. A été cité. Cordialement Eric Abadie |
Auteur : | ae80 [ dim. juil. 05, 2020 17:11 pm ] |
Sujet du message : | Re: 60ème RI juin 1940 (Somme) Picquigny - Breilly |
60e rég. d'infanterie. J.O. du 21 août 1944 page 2098 Médaille militaire à titre posthume pour les militaires suivants : FONTAINE (Emile), caporal-chef, classe 1938, mie 1145 au recrutement de Moulins. A été cité. Emile FONTAINE Mort pour la France le 7 juin 1940 à Oissy, (Somme) Né(e) le/en 16 octobre 1918 à Cronat (Saône-et-Loire) Mort pour la France AUBERT (Marcel) soldat de 1re classe, classe 1934/2, mie LM 134 au recrutement de Besancon. A été cité. Marcel AUBERT Mort pour la France le 7 juin 1940 à Oissy, (Somme) Né le 12 juin 1914 à Mouthier en Bresse (Saône-et-Loire) Mort pour la France tué à l'ennemi LAUDY (Jean), soldat de 1re classe, classe 1936, mle 506 au recrutement de Guéret. A été cité. Jean LAUDY Mort pour la France le 5 juin 1940 à Fourdrinoy, (Somme) Né le 3 septembre 1916 à Arrènes (Creuse) Mort pour la France tué au combat CATONNET (André-Roger), soldat, classe 1938, mie 989 au recrutement de Tulle. A été cité. André Roger CATONNET Mort pour la France le 05-06-1940 (Tourdrin) (Fourdrinoy) ??? Né le 22 janvier 1918 à Paris Mort pour la France Cordialement Eric Abadie |
Auteur : | ae80 [ dim. juil. 05, 2020 17:40 pm ] |
Sujet du message : | Re: 60ème RI juin 1940 (Somme) Picquigny - Breilly |
60e rég. d'infanterie. J.O. du 22 août 1944 page 2102 Médaille militaire à titre posthume pour les militaires suivants : JARDRY (Guy-Pierre, sergent, classe 1939, matricule 1487 au recrutement de Bordeaux. A été cité. Guy Pierre JARDRY Mort pour la France le 29 juin 1940 à Doullens, (Somme) Né le 14 juillet 1919 à Listrac-Médoc (Gironde) Mort pour la France des suites de blessures NOIROT (Paul-François-Jean-Baptiste), caporal, classe 1934/2, matricule 906 au recrutement de Vesoul. A été cité. Paul François Jean Baptiste NOIROT Mort pour la France le 8 juin 1940 à Bougainville, (Somme) Né le 17 octobre 1910 à Membrey (Haute-Saône) Mort pour la France BOISSONNIERE (Maurice), soldat, classe 1938, matricule 485 au recrutement de Moulins. A été cité. Maurice BUISSONIERE Mort pour la France le 5 juin 1940 à Fourdrinoy, (Somme) Né le 23 octobre 1918 à Trézelles (Allier) 60e régiment d'infanterie Mort pour la France tué à l'ennemi DEPALLE (Rémy-Denis), soldat, classe 1937, matricule 333 au recrutement de Moulins. A été cité. Rémy DEPALLE Mort pour la France le 6 juin 1940 à Fourdrinoy, (Somme) Né le 7 septembre 1917 à La Chabanne (Allier) Mort pour la France LASSALAS (Raymond-Joseph), soldat, classe 1937, matricule 221 au recrutement de ClermontFerrand. A été cité. Raymond Joseph LASSALAS Mort pour la France le 6 juin 1940 à Fourdrinoy, (Somme) Né le 28 novembre 1917 à Augerolles (Puy-de-Dôme) Mort pour la France tué au combat ROUX (Aimé-André-Gabriel), soldat, classe 1938, matricule 533 au recrutement de Guéret. A été cité. Aimé André Gabriel ROUX Mort pour la France le 7 juin 1940 à Oissy, (Somme) Né le 24 août 1918 à Tardes (Creuse) Mort pour la France tué au combat 60e rég. d'infanterie. J.O. du 16 août 1944 page 2075 Médaille militaire à titre posthume pour les militaires suivants : VERNOCHET (Alfred), soldat de 1ère classe, classe 1936-2, matricule 1356 au recrutement de Mâcon. A été cité. Alfred VERNOCHET Mort pour la France le 6 juin 1940 à Bougainville, (Somme) Né le 21 septembre 1916 à St Valliers (Saône-et-Loire) Mort pour la France tué au combat DECREUSE (Georges-Camille), soldat, classe 1934-2, matricule 1600 au recrutement de Vesoul. A été cité. Georges Camille DECREUSE Mort pour la France le 6 juin 1940 Breilly, (Somme) Né le 21 juillet 1914 à Mont le Vernois (Haute-Loire) Mort pour la France Cordialement Eric Abadie |
Auteur : | ae80 [ mar. juil. 07, 2020 10:39 am ] |
Sujet du message : | Re: 60ème RI juin 1940 (Somme) Picquigny - Breilly |
J.O. du 3 décembre 1942 page 3989 VOHLGUEMUTH (Charles), capitaine au 60e regiment d'infanterie : officier d'une admirable bravoure, adoré de ses subordonnés, a, complètement encerclé dès sept heures du matin, le 5 juin 1940, par un ennemi dix fois supérieur en nombre, du lutté avec une énergie farouche pendant quatorze heures. Âme de la résistance, a maintenu sur place sa troupe animée par son exemple jusqu'à l'épuisement total de ses munitions. Rectificatif au Journal officiel du 3 décembre 1942 : LÉGION D'HONNEUR Pour officier Page 3989, 3e colonne, au lieu de: a Vohlgemute (Charles), capitaine au 60e rég. d'infanterie », lire: « vohlgemuth ». |
Auteur : | ae80 [ mar. juil. 07, 2020 11:20 am ] |
Sujet du message : | Re: 60ème RI juin 1940 (Somme) Picquigny - Breilly |
COMBAT DE PICQUIGNY in Pierre Vasselle – Juin 1940 sur la Basse-Somme (page 33 à 36) Picquigny, comme Ailly-sur-Somme, est adossé à une falaise crayeuse qui ne laisse entre elle et le cours sinueux de la vieille Somme qu'un étroit espace où s'étagent les maisons de ce bourg pittoresque, de nos jours chef-lieu de canton, autrefois point de passage bien garde par une forteresse féodale dont subsistent d'importants vestiges sur la hauteur dominant le pays. En 1940, sa défense incombait à la 1e compagnie du 60e R.I. Le capitaine Vohlguemuth, adjudant major du 1er bataillon, avait pris le commandement de ce point d'appui important où les sections de la compagnie s'étaient alignées pour interdire le franchissement de la Somme : section Girod à l'Ouest, au centre sections Bognon et Gasser, et assez loin à l'Est, au bois des Vignes, la section Julliard. Au château, il y avait des mitrailleuses et des mortiers, et en renfort, au bois de Neuilly, la section Chauvin, détachée de la 3e compagnie. Après les inquiétudes suscitées dans la soirée du 4 juin par des bruits de manutention de planches et de madriers venant de la rive Nord, la nuit avait été calme, lorsqu'à 3 h 30, un violent bombardement d'artillerie, mit tout le monde en alerte. Le capitaine Vohlguemuth essaya en vain de téléphoner au chef de bataillon, la ligne était déjà coupée. Il se rendit au château, seul point d'où l'on puisse voir au loin. Le jour perçait à peine. On ne voyait, dans la nuit, aucun objectif à atteindre. Cependant à quelques centaines de mètres, un dépôt de paille flambait et à la lueur de l'incendie des petites colonnes étaient visibles, se dirigeant vers le Sud. Ces groupes en bon ordre ne semblaient pas être des éléments en retraite, de nombreuses fusées jalonnaient leur avance. On renonça à faire tirer les mitrailleuses sur ce but imprécis. Que se passait-il en première ligne du côté des sections placées près de la rivière ? La section Bognon, au lever du jour, aperçut des Allemands qui construisaient une passerelle entre Picquigny et Saint-Pierre-à-Gouy. Pris à partie par nos F.M. les Allemands abandonnèrent leur tentative et ripostèrent par des tirs de minen. Des avions volant en rase-mottes, mitraillèrent, d'autres lancèrent quelques bombes. Une tentative pour rétablir un passage sur le pont détruit, fut entravée par un tir de F.M. Des pionniers ennemis passèrent alors sur la rive Sud dans l'intention de haler la passerelle construite sur l'autre rive, mais subissant des pertes, ils renoncèrent à cette manœuvre et procédèrent à de nouvelles tentatives de lancement par la rive nord. Le mortier du groupe Miquel détruisit la passerelle au 6e obus, et toutes les tentatives de reconstruction échouèrent ensuite sous nos tirs, jusqu'à l'épuisement de nos munitions. Au début de l'après-midi, les Allemands purent établir la passerelle, mais ils restèrent prudents et ne l'utilisèrent que dans la soirée. A ce moment, depuis longtemps, Picquigny était largement débordé à l'Est et à l'Ouest, mais Gasser et ses hommes retranchés près de l'église, résistèrent longtemps, la section Julliart, au bois des Vignes, tiendra toute la journée et ne sera capturée que le 6 juin. A l'extrémité du dispositif, vers Saint-Pierre-à-Gouy, la section Girod avait été débordée dès 4 h 30 du matin malgré une fusillade intense déclenchée sur l'ennemi. En un instant, cinq de nos tireurs avaient été tués. Le sergent Sirguey, chef de groupe, avait pris lui-même un fusil-mitrailleur et Bognon avait donné à Girod son groupe de gauche. Ce fut en vain. A 5 h 30, tous les F.M. étaient hors d'usage, il ne restait que les fusils et très peu de cartouches. Après un court combat à la grenade, Girod se replia en emmenant les blessés qui furent évacués par une auto sanitaire rencontrée en cours de route. A midi, Girod parvint au P.C.R.1. n'ayant plus avec lui que deux gradés et un homme, et quand Bognon entrevoyant la situation critique de la section Girod, voulut rétablir la liaison avec elle, il se rendit en rampant à son emplacement où il ne vit que quelques morts dans des trous individuels. De la butte du château, l'aspirant Mourey, chef de la section d'engins, avait pu suivre toutes les phases de l'attaque. Son récit confirme celui du capitaine Vohlguemuth : « 5 juin, 4 h 30 : Des fantassins allemands attaquent nos fusiliers voltigeurs installés sur la rive sud. Ils sont arrêtés par leurs feux et par le tir des fusils mitrailleurs et des mitrailleuses de la section qui est au château. On aperçoit nettement les pionniers allemands qui tentent de lancer des passerelles sur la Somme, et malgré la résistance qui leur est opposée, malgré la violence de nos tirs, ils réussirent, par endroit, à franchir la rivière. Le combat très vif se poursuit jusqu'à 8 heures. L'ennemi est sans cesse renforcée par des éléments amené en camions qui débarquent sur la crête boisée au Nord de Picquigny. « Nous avons l'impression que les Allemands maintiennent un contact étroit avec nos éléments à Picquigny, mais se sont infiltrés profondément à l'Est et l'Ouest. « A 10 heures, l'artillerie ennemie concentre son tir sur les lisières du bois de Neuilly. Nos fusiliers voltigeurs sont débordés, des fantassins allemands se dirigent vers le château. Le groupe de mitrailleuses du sergent Courtin est anéanti. Nos munitions sont presque épuisées. » Vers 11 heures, l'aspirant Mourey atteint par un éclat l'obus, fut transporté au poste de secours dans un cave du château où il y avait déjà beaucoup de blessés. Il s'y cachera jusqu'au lendemain dans l'espoir d'être délivré par une contre-attaque. C'est par la route encaissée qui sort de Picquigny en direction d'Airaines que les Allemands s'étaient infiltrés très tôt, pour attaquer le bois de Neuilly. La section du lieutenant Chauvin, qui en assurait la défense, s'était placée à la lisière nord du bois. « L'attaque commença à 4 heures du matin par un quart d'heure de bombardement, note le lieutenant Chauvin, puis le tir s'allongea. On entendait le crépitement des armes automatiques. L'infanterie allemande traversait la Somme. Quelques incendies furent aperçus aussitôt. Des avions allemands passèrent volant bas, sans bombarder ni mitrailler. Un ballon captif, du type saucisse, s'éleva dans le bois de Vignacourt. Une demi-heure plus tard, on vit déboucher une petite colonne ennemie qui avait contourné les défenses de Picquigny. » Parvenue au cimetière britannique, cette colonne se porta vers le bois de Neuilly en se faisant appuyer par un tir très dense de minen. Le lieutenant Chauvin, blessé par un éclat, fut évacué. Le sergent chef de Menthon prit le commandement et poursuivit longtemps la résistance malgré les faibles moyens de cette section réduite à deux groupes, car le lieutenant Chauvin avait détaché un groupe, celui du caporal Guy, au point d'appui de la ferme de Tenfol, pour bien assurer la liaison avec les coloniaux. Cordialement Eric Abadie |
Auteur : | ae80 [ lun. août 03, 2020 16:04 pm ] |
Sujet du message : | Re: 60ème RI juin 1940 (Somme) Picquigny - Breilly |
J.O. du 20 janvier 1944 page 232 Médaille militaire SIMON (Julien), soldat au 60e régiment d'infanterie : soldat brave et courageux. A été très grièvement blessé, le 5 juin 1940, à son poste de combat, à Ailly-sur-Somme, en accomplissant son devoir sans défaillance, face à un ennemi pourvu d'une supériorité numérique et matérielle écrasante. J.O. du 20 janvier 1944 page 232 Médaille militaire VAL (Jean), soldat au 60e régiment d'infanterie : soldat Brave et courageux. A été grièvement blessé à la tête par éclats d'obus, le 5 juin 1940, au cours d'une mission de liaison exécutée dans la région d'Amiens. A été trépané. |
Auteur : | ae80 [ sam. août 15, 2020 12:11 pm ] |
Sujet du message : | Re: 60ème RI juin 1940 (Somme) Picquigny - Breilly |
60e rég. d'infanterie. J.O. du 6 janvier 1944 page 108 Médaille militaire à titre posthume LIPMANN (Pierre), sergent, classe 1937, matricule 2169 au recrutement de Lyon : chef de groupe hardi et plein d'allant. A été mortellement blessé le 5 juin 1940, à Fourdrinoy (Somme), alors qu'il entraînait ses hommes à l'attaque du village fortement tenu par l'ennemi. A été cité. Pierre LIPMANN Mort pour la France le 5 juin 1940 à Fourdrinoy, (Somme) Né le 28 mars 1917 à Lyon (Rhône) 60e régiment d'infanterie (60e RI) Mort pour la France Cordialement Eric Abadie |
Auteur : | ae80 [ dim. août 16, 2020 14:42 pm ] |
Sujet du message : | Re: 60ème RI juin 1940 (Somme) Picquigny - Breilly |
60e rég. d'infanterie. J.O. du 10 octobre 1941 page 4380 Nomination au grade de Chevalier dans l'Ordre de la LÉGION d'HONNEUR pour les officiers suivants : DE MALEZIEUX DU HAMEL (Henri-Robert-Marie), capitaine : magnifique entraîneur d'hommes, exemple vivant des plus belles vertus militaires et morales. Le 5 juin 1940, dirigeant personnellement la défense du P. C. du bataillon attaqué par des forces ennemies supérieures, a servi lui-même un mortier de 60 mm, sous un tir violent d'artillerie et d'armes automatiques et repoussé plusieurs attaques ennemies. A été blessé mortellement à la ferme de Saint-Christ (Somme), à la lin d'une journée où il avait fait l'admiration de tous par son entrain et son exceptionnelle bravoure A été cité. Henri Robert Marie MALEZIEU DU HAMEL (DE) Mort pour la France le 5 juin 1940 à Cempuis, (Oise) Né le 6 juillet 1906 à St géréon (Loire-Atlantique) 60e régiment d'infanterie (60e RI) Mort pour la France des suites de blessures HYVE (Lucien-Louis-Marie), lieutenant de réserve : officier d'une haute valeur morale, animé du plus grand esprit de sacrifice. Après avoir assuré de façon impeccable le service des transmissions, a défendu personnellement le P. C., le 6 juin 1940, à Fluy (Somme), à la tête de sa section ; a trouvé une mort glorieuse alors qu'il organisait avec ses hommes une nouvelle défense. A été cité. Lucien Louis Marie HYVE Mort pour la France le 5 juin 1940 à Fluy, (Somme) Né le 2 mars 1911 à Anhiers (Nord) 60e régiment d'infanterie (60e RI) Mort pour la France MARTIN (Louis-Marcel), lieutenant : chef de section d'élite qui a su, par son courage et son exemple, maintenir son unité sur une position de première ligne attaquée par un ennemi disposant d'une supériorité numérique et matérielle écrasante. A été tué glorieusement, le 5 juin 1940, après une résistance héroïque, ayant exécuté jusqu'au bout l'ordre reçu : « Résister sur place sans esprit de recul ». A été cité. Louis Marcel MARTIN Mort pour la France le 5 juin 1940 à Picquigny, (Somme) Né le 10 novembre 1913 à St Vit (Doubs) 60e régiment d'infanterie (60e RI) Mort pour la France Cordialement Eric Abadie |
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