Depuis près de quatre années, Régis Moreau, président de l’Association Histoire & Archéologie de Nanteuil-le-Haudouin et membre du groupe de recherche Résistance 60 , se penche sur la question de l’engagement des femmes et des hommes dans la résistance à l’occupant et au régime de Vichy entre l’été 1940 et l’été 1944.
De Senlis à La Ferté-Milon et de Verberie à Villers-Cotterêts, le Valois a été marqué par les combats de juin 1940. Comment la population a-t-elle vu s’installer l’armée des vainqueurs ? De l’effondrement sans précédent du pays en juin 1940 à la fin de l’année 1942, des résistances se sont développées. Elles furent multiples et connurent des destinées fort diverses. Cette première période du conflit et de la résistance est la moins étudiée et donc la moins connue. La répression vichyso-nazie et l’épopée de la Libération en sont responsables.
Quelles furent les motivations, les engrenages et les circonstances qui poussèrent des personnes d’âges, de conditions sociales et d’opinions si différents à basculer plus ou moins volontairement et activement dans la lutte ? Comment l’occupant réprima-t-il ces comportements ? Qui furent les premières victimes ?
Quelle fut l’histoire de la résistance avant que l’on parle de la Résistance ?
Pour le savoir rejoignez nous le vendredi 17 juin prochain à 18h30 au Collège Guillaume Cale, 12 rue de Lizy à Nanteuil-le Haudouin.
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