Bonjour

A Abbeville je pense

A+

Bonsoir

Versigny (02)

A+

Versigny rue de la gare



https://goo.gl/maps/rWNB8pdqwEp

Bien a vous

Merci pour le matching !

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Frédéric - co-administrateur du site et forum "Picardie 1939 - 1945"
Président association "Picardie 1939 - 1945"

Bonjour

Grâce à l'un de nos membres, raphaelfernandez, cette photo est enfin localisée. Il ne s'agissait pas de la direction Ailly-sur-Somme mais de Belloy-sur-Somme et nous sommes à la Chaussée-Tirancourt. Le mur bien caractéristique se retrouve sur des CPA. La photo peut rejoindre la rubrique hier/aujourdhui et l'on voit que le secteur a bien changé...

A+

Bonjour

C'est ambiance champêtre dans l'Aisne !

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Frédéric - co-administrateur du site et forum "Picardie 1939 - 1945"
Président association "Picardie 1939 - 1945"

Bonjour,
Au cours de l'hiver 1940/1941 (?), un agent de liaison motocycliste allemand (Motorrad Kradmelder) s'est arrêté au milieu de la chaussée du GC 74 pour se faire photographier sous l’œil d'un gamin surpris par la scène. Celle-ci se passe à l'entrée du village de PYS, situé tout au nord du département de la Somme, bourgade limitrophe du Pas-de-Calais, près de la route qui relie Albert à Bapaume.
A+

Cette photo avec le motard me fait irrémédiablement pensé à ces "vieux" films de guerre où l'on voyait à coup sur un motard apporter un message. Ces vieux films dont la liste serait longue mais combien d'entre nous en sont venus à se passionner, voire davantage, pour la Seconde Guerre mondiale ? Moi le premier quand j'étais ... gamin !

En tout cas belle photo !

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Frédéric - co-administrateur du site et forum "Picardie 1939 - 1945"
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Bonjour
Senlis

Bonjour

Variante d'une scène connue d'un R35 du 1ER BCC à Noyon. Sur cette photo figure la pancarte "le camp des réfugiés". Une idée de l'emplacement et du fonctionnement de ce camp ?

A+

Bonjour à tous, bonjour Marc,
Je ne peux répondre que très partiellement à ta question.
Je ne connais pas l'emplacement du camp de réfugiés de Noyon mais il est plausible de penser que les locaux devaient être conséquents.
Pour le département de l'Oise, les centres de groupage des réfugiés de Noyon et de Breteuil tentaient de gérer l'afflux (ou plutôt le reflux) des milliers (voir millions) d'évacués qui tentaient de rejoindre leur domicile à partir de juillet 1940 après l'exode : habitants de la Somme, de l'Aisne, du Pas-de-Calais et du Nord. Le souci majeur que rencontraient tous ces réfugiés était l'instauration d'une ligne de démarcation le long de la Somme qui sinon refoulait du moins filtrait au maximum le retour dans la zone interdite située au Nord du fleuve Somme. D'autres camps étaient installés à Amiens, Poix et Montdidier pour le département de la Somme et à Blangy-sur-Bresle et Aumale pour la Seine-Inférieure (Seine-Maritime).
La pression des réfugiés fut telle que d'autres camps virent le jour à Roye (entre 50 et 80 personnes/jour) et Chaulnes (entre 80 et 200 personnes/jour) terminus ferroviaire provisoire sur la ligne de Saint-Just/Cambrai.
Ces informations sont extraites de l'ouvrage de Gérard Mascré, La zone interdite dans la Somme 1940-1944 (voir bibliographie de la Somme)

Amicalement
Eric A

Bonsoir

Merci Éric pour ce début de réponse.

A+

Je n'apporte pas de réponse, mais on retrouve un autre panneau indiquant le camp de réfugiés, sur cette photo située à Crépy-en-Valois (?).

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Frédéric - co-administrateur du site et forum "Picardie 1939 - 1945"
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Villers cotteret